Recherche de défaut de câble souterrain
- Recherche de défauts de câbles souterrains
- Les câbles BT (industriels et tertiaires , éclairage public , agricoles et photovoltaïques)
- Les câbles HTA
- Les câbles HTB
- Les câbles sous-marins
- Les lignes aériennes
- Essais VLF de liaisons HTA et HTB selon les CEI 60502-2:2014 et CEI 60229:2007
- Diagnostic Tangente delta en HTA et HTB
- Localisation des décharges partielles
- Image échométrique de liaisons câblées
- Recherche de défaut de câble en zone ATEX ou pyrotechnique
- Déshumidification par action mécanique des âmes de liaisons HTA ou BT
- Localisation de canalisations souterraines non métalliques ( Géoradar )
- Localisation de canalisations métalliques en fréquences audibles très forte puissance
- Localisation de liaisons câblées sans interruption du service
- Mesure de l’isolement et de la résistance des âmes et écrans de câbles
- Nous pouvons prendre en charge la réparation des câbles BT et HTA
Pour l’ensemble des prestations nous disposons de matériels embarqués de forte puissance et de matériels plus légers ( héliportable ou autres )
Recherche de défauts de câbles souterrains
Nous pouvons effectuer sur des liaisons HTA selon la méthode brevetée par la Société BAUR en 2006 et recommandée par EDF Les Renardières en 2002 puis en Novembre 2005, à savoir :
a) La différence entre la TD à 2Uo et la TD à Uo (ou entre la TD à 1,5 Uo et 0,5Uo), doit être inférieure à une valeur convenue avec les grands électriciens. Cette différence qui représente la pente de la TD avec la tension doit être faible, donc le profil de cette courbe est normalement linéaire et quasiment plat. Pour un isolant constitué de PER, le critère retenu par BAUR et les grands électriciens internationaux (EDF, EON, RWE, ENEL, Endesa, etc.) est :
si TD ( 2Uo) à TD ( Uo)
si TD (2Uo) à TD (Uo) > 1,0 10-3 câble à haut risque en exploitation
si TD (2Uo) – TD (Uo) > 0,6 10-3 câble à surveiller
c) La comparaison des trois phases est un troisième critère d’appréciation de l’état d’une liaison câblée ; ainsi, si le comportement d’une phase diffère notablement de celui des deux autres phases, il faut considérer cela comme un signal d’alarme.
d) un autre critère purement qualitatif est : pour un même niveau de tension, la chute des valeurs de TD en fonction du temps, c’est-à-dire pendant les deux minutes on fait huit mesures de TD. Si ces huit valeurs diminuent en fonction du temps, cela est caractéristique d’un accessoire (boite de jonction ou terminaison de câble) avec présence d’eau, qui perd graduellement cette humidité avec l’effet thermique de l’application de la tension.
Diagnostic et pré-localisation des points faibles par la mesure des Décharges Partielles : on charge la liaison câblée à l’aide d’un générateur haute tension à Très Basse Fréquence 0,1Hz sinusoïdal et symétrique, puis on mesure les Décharges Partielles présentes sur toute la longueur de la liaison : en effet, connaissant la position en phase de ces Décharges partielles et la vitesse moyenne de propagation d’une onde électromagnétique dans un câble, nous pouvons obtenir directement un diagramme permettant de localiser les Décharges Partielles en fonction de la longueur de la liaison. Ainsi, les Décharges Partielles (DP) permettent de localiser un ou plusieurs points faibles (accessoires, terminaisons, câble lui-même) avant qu’ils ne deviennent défauts d’isolement. Les DP permettent aussi de voir de petits phénomènes qui ne sont pas visibles avec la TD. Trois critères sont retenus, par ordre d’importance décroissante :
a) la tension d’apparition des Décharges Partielles,
b) la concentration en Décharges Partielles au même endroit, facteur permettant de localiser un point faible.
c) le niveau en Décharges Partielles (en pc), facteur le moins important. Remarque : précisons que la mesure des Décharges Partielles ne peut se faire que sur des liaisons câblées d’une longueur maximale de 7 km, cette distance max dépend de l’atténuation du câble.